Un survol des cours offerts à la session d’hiver 2017

lancement 1Les sept cours de la session d’hiver 2017 ont été présentés par leurs professeur.es le 1er février dernier dans une Sala Rossa qui a fait salle comble.

L’événement spécial de la soirée était une entrevue menée par Élodie Comtois des Éditions Écosociété avec deux chercheur.es de l’Institut de recherche socio-économique (IRIS), Eve-Lyne Couturier et Guillaume Hébert, autour du livre Cinq chantiers pour changer le Québec, publié l’automne dernier à cette même maison d’édition.lancement 2

Car ces cinq chantiers ont été autant de séances d’un cours offert par pas moins de neuf chercheur.es de ou associé.es à l’IRIS. Ce cours, qui visait à lancer des débats autour d’un éventail d’alternatives à l’opposé des politiques d’austérité, était en quelque sorte un prolongement dans un autre cours, celui que propose Yves-Marie Abraham et ses étudiant.es intitulé Vers un monde post-croissance – Stratégies de sortie du capitalisme. S’enchaînant chronologiquement avec celui de l’IRIS, ce cours discutait des principales solutions que mettent de l’avant les « objecteurs de croissance » qui ont formulé, depuis un certain temps, des propositions constructives pour un mieux-être collectif.

Il y a eu aussi un autre « duo » de cours, soit celui sur le fonctionnement des ordinateurs donné par Mathieu Petitpas suivi par celui sur le fonctionnement du cerveau en lien avec le corps et l’environnement présenté par Bruno Dubuc qui a tenté de vous convaincre qu’à part quelques analogies de surface, ces deux machines fonctionnent bien différemment !

Le cours Une histoire populaire en chansons fut aussi fort intéressant dans sa forme comme dans son contenu. Orchestré par Dror, ce cours proposait à chaque séance une promenade thématique où écoute de chansons alternera avec explications sur leur contexte historique et leur portée politique.

Après notre cours sur les luttes des femmes autochtones de l’automne 2015 et celui sur les rapports complexes entre Québécois.es et Autochtones de la session d’hiver 2016, Anick St-Louis et Émilie Paquin ont poursuivi ce travail de rapprochement et d’éducation populaire avec le cours Autochtones et cinéma au Québec – Une exploration plurielle.

Enfin, le cours Célébrations et critiques des concepts féministes, lesbiens et queer of color offert par Mariève Maréchale voulait rendre accessible les idéologies féministes, lesbiennes et queer of color pour examiner notre rapport à nous-mêmes et à autrui.

16112526_1374284872603048_1444838804730076682_oPour la seconde moitié de sa septième année d’existence, L’UPop s’est donc demandé une fois de plus dans quel monde on vit !